En ces temps de pics de pollution en région parisienne, j’ai cru bon de traduire à ma sauce cette magnifique chanson de Chris Rea afin que son sens n’échappe pas à ceux qui ne parlent pas en glophone.
« Je suis au bord d’une rivière,
Mais l’eau ne coule pas,
Elle bout de tous les poisons,
que tu ne peux imaginer…
Et sous les réverbères,
Les yeux jadis remplis de joie,
Sont tapis dans l’ombres
Effrayés par tant de violence.
Sonne le glas de la raison.
Ce n’est pas une anomalie technologique,
C’est la route de l’enfer.
Et toutes les issues sont bouchées,
Et tu ne peux rien y faire,
juste constater ton impuissance.
Regarde, regarde bien,
Tu dois apprendre cette leçon, vite et bien :
Ce n’est pas un monde qui avance
C’est la route de l’enfer. »